Bonne Année 2017
bientôt c'est les vacances à la neige, mais avant :
Bonne Année
Encore une année de terminée. Comme dit le proverbe : Nous savons ce que nous quittons, mais nous ne savons pas ce que nous retrouverons.
Alors à tous je souhaite que 2017, soit la meilleure année de votre vie.
Pour Tous
En premier une Bonne Santé, sans elle nous ne pouvons pas grand chose.
Beaucoup d'Amour autour de vous, et pour vous, sans l'amour nous ne sommes rien.
du courage, car il va en falloir !
Mais gardez toujours l'espoir des jours meilleurs.
Alors :
Joyeux Noël 2016
Pour tous mes fidèles qui me suivez depuis 10 ans !
Je vous souhaite de Joyeuses fêtes de Noël
Pour ceux qui sont seuls ce jour là, je connais cette solitude et je pense à vous.
Pour ceux et celles qui ont perdu un être cher ou un compagnon de tous les jours; j'ai une pensée particulière, car le 17 décembre, elle nous a quitté.
Pour ceux qui sont malade, gardez l'espoir.
Enfin pour tous, je pense à vous.
Saint Valentin et vous ?
Il y a 11 ans, quand j'ai rencontré "Petit n'Amour", j'ai été très surprise ; jamais il n'avait fêté la Saint Valentin avec son amoureuse.
Pour moi, dans la vie il y a des jours qui méritent à sortir de l'anonymat journalier, à la routine quotidienne, sans pour cela devenir l'occasion d'une fête commerciale. Du plus loin que je me souvienne, le 14 février, mon papa apportait à ma maman un joli bouquet de violettes.
Au début du XXème siècle jusqu'aux années 1960, à Paris, sur les grands boulevards on ne faisait pas trois pas, sans croiser une petite marchande avec un panier rempli de violettes. Maintenant, pour essayer de se procurer un simple bouquet, c'est devenu presque impossible.
Dès que j'ai eu l'âge d'avoir un amoureux, jamais il n'a oublié ce jour. Je me souviens de mon premier fiancé "Michel" quand il m'a offert une médaille en argent sur laquelle un couple d'amoureux de Peynet était gravé et au dos, nos deux prénoms.
Plus tard, mon premier mari, m'a offert à une St. Valentin, un joli recueil dessiné et dédicacé par Peynet.
J'ai toujours été romantique et je serais triste si même maintenant que je suis une grand-mère, mon amoureux oublie ce jour. Je ne demande pas un cadeau extraordinaire, mais tout simplement un geste pour marquer ce jour, un simple bouquet de violettes, une simple rose, ou bien un camélia.
Je sais, celles dont l'amoureux ne marque pas ce jour particulier, s'empresseront de dire : " Il n'y a pas besoin de marquer ce jour là, les petites attentions peuvent être celles de chaque jour". Sauf, que pour celles là, quoiqu'elles en disent, elles sont déçues et au fond d'elles-mêmes regrettent qu'Il n'y ait pas pensé. Alors, elles ironisent autrement.
J'ai toujours été une jeune fille, une femme et maintenant une grand-mère fidèle aux traditions et qui aime particulièrement le romantisme, le rêve et je suis très sentimentale ; j'ai un côté fleur bleue que j'assume pleinement. J'ai en horreur la routine journalière qui s'installe au fil des jours. Alors la Saint Valentin est une façon parmi tant d'autres de rompre cette routine et elle n'est pas faite seulement pour les jeunes.
Alors, et vous, votre amoureux a-t-il oublié ? ou rentrera-t-il ce soir avec des fleurs ?
à Vérone sur le célèbre balcon de Roméo et Juliette. Les deux amoureux qui s'embrassent sont deux jeunes asiatiques.
Bonne Année 2012 Félix.....L'histoire d'une transplantation cardiaque
Pour ce dernier billet de l'année, je vais rendre hommage à une personne qui a traversé notre vie et que nous avons accompagné dans une des plus importantes épreuves de sa vie et qui malheureusement s'est éloigné et que nous avons perdu de vue. Je vais vous raconter cette épreuve pas facile à vivre quand on se trouve seul, sans famille et avec très peu d'amis.
Félix rentre dans notre vie dans les années 1985. A cette époque Annabelle est au collège, il est son professeur de musique. Chez nous, la maison est toujours ouverte nous le recevons, nous apprenons à l'apprécier il devient l'ami de la famille.
Il a environ 40 ans et vient d'apprendre qu'il a une grave maladie du coeur et qu'il n'y a pas d'autre solution que de tenter une greffe. Pas facile d'affronter cette nouvelle quand on est seul dans la vie, sans parents, ni frères et soeurs et loin de sa région natale. Sa famille va être la nôtre pour l'aider à traverser ces moments difficiles. Je décide de l'épauler et de l'accompagner le temps qu'il faudra.
Il se fait suivre à Paris à l'hôpital de la Salpêtrière dans le service du Professeur Christian Cabrol, c'est lui même qui doit l'opérer, mais pour cela il est sur une liste d'attente et il est muni d'un bip bip téléphonique qui peut sonner à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit pour lui dire de se rendre aussitôt à l'hôpital. L'attente peut être longue. Je me propose pour l'accompagner le jour venu.
Un premier appel, nous conduit à Paris, tout fébrile et heureux par la nouvelle qui va lui changer la vie. Après un après-midi de préparation, l'équipe médicale se rend compte que le greffon n'est pas compatible. Déçus nous repartons et je le ramène chez lui.
Revenons sur le Professeur Cabrol pour ceux qui ne le connaissent pas. Christian Cabrol est chirurgien cardiaque il est le premier en Europe à avoir pratiquer la première intervention de greffe du coeur le 27 avril 1968, à l'hôpital parisien de la Pitié. Un homme d'une grande bonté et d'une simplicité, toujours très proche de ses patients, parmi son équipe son épouse Annick anesthésiste-réanimateur qui le seconde depuis sa première intervention ; je les ai rencontrés et je peux dire qu'ils étaient l'espoir de demain pour les nombreux français en attente de greffe.
Quelques semaines plus tard, le second appel "bip bip" est le bon. Même procédure que la première fois. Nous partons pour Paris avec l'apréhension quand même que ce ne soit pas le bon appel. Mais dans la soirée je repars seule et dans la nuit la transplantation a lieu. Tout se passe bien. C'est le deuxième jour que je remonte à l'hôpital. Pour rentrer dans la chambre, je dois enfiler des bottes, une blouse stériles et un masque. Ce scénario se reproduira à chaque fois que je me rends à son chevet plusieurs fois par semaine. Son état se stabilise, le plus dur est passé, mais la crainte d'un rejet est loin d'être effacé, il va falloir beaucoup de patience et surtout vivre avec ce doute sans arrêt. Mes visites lui redonnent le moral, je suis la seule à aller le voir. La première partie de l'aventure se termine, mais la suite ne va pas toujours être simple.
Après plusieurs semaines le Professeur envisage un protocole qui devra être établi avant qu'il puisse se rendre en convalescence dans une maison de repos. Une nouvelle vie s'ouvre devant lui mais avec de nombreuses contraintes qu'il va être obligé d'adopter car à tous moments il peut faire un rejet. Il faut qu'il s'habitue à la prise deux fois par jour à heure fixe de cyclosporine pour cela il se procure une montre qui sonnera aux heures dites, et surtout ne jamais l'oublier. La cyclosporine est utilisé pour prévenir le rejet du greffon suite à la transplantation et supprime la défense naturelle de l'organisme.
Une seconde contrainte tout aussi importante pour les mêmes raisons, mais beaucoup moins agréable, sous anesthésie locale, la biopsie d'un fragment de tissu du coeur transplanté qui permet de dépister précocement la réaction de rejet. Ces biopsies se font plusieurs fois par an au début, les premières fois c'est encore moi qui l'accompagne, j'attends dans la salle d'attente pendant que Madame Cabrol intervient. Quand le protocole est bien adapté, il peut partir en convalescence. Sur un week-end je l'emmène en Savoie dans une maison de santé de l'éducation nationale. Je l'installe et je repars.
Un mois s'écoule, tout va bien, il rentre chez lui, reprend une vie presque normale, continue de nous rendre visite, puis sans savoir pourquoi, espace ses visites et un jour les stoppent définitivement. J'essaie de le contacter mais je le sens de plus en plus distant. Je ne comprends pas, mais je respecte sa décision. Peut être a-t-il voulu effacer son autre vie, recommencer autre chose. J'avoue au début avoir été très peinée surtout qu'à ce moment là ma vie prend un autre tournant et je sombre dans la dépression.
Dernièrement, j'ai appris qu'il est toujours en vie, à la retraite de l'éducation nationale, il continue à donner des cours particuliers de musique et habite toujours au même endroit. J'en suis très contente car en novembre 2012, il y aura 24 ans.
Alors si par hasard, il passe par ici, qu'il sache que nous ne l'avons jamais oublié et que nous sommes heureux de savoir de loin qu'il a survécu à cette dure épreuve et qu'il a eu une autre vie normale malgré les contraintes.
BONNE ANNEE 2012 FELIX
longue vie à toi.
ET BONNE ANNEE
A VOUS TOUS QUI VOUS ARRÊTEZ SUR CE BLOG.
tous ceux qui sont dans mon coeur de maman.
Le romantisme n'a pas d'âge.
Je me suis très souvent aperçue qu'être "romantique" passé un certain âge amène les autres à sourire, tout comme avouer que l'on regarde quotidiennement certains feuilletons à la télé ou qu'on lit depuis de nombreuses années "Point de Vue". Pourquoi les gens qui nous entourent ; très souvent portent un jugement sur tout ? et pensent qu'à cause de cela nous sommes moins intelligentes que les autres ??? Eh ! bien moi je n'ai pas honte de le dire et j'assume, même si on veut me faire dire que je rêve, que je m'imagine etc... Souvent ceux là, regardent "Star Académie, Barnaby ou Les séries policières et lisent Femme actuelle, Gala, Paris-Match, Elle, Lui et j'en passe..." Je ne me permets pas d'en sourire.
Justement, l'autre jour mon amie Danie
m'a offert un très joli livre qui ne pouvait pas me procurer plus de plaisir, car j'ai mes heures de poésies et je n'ai pas honte de le dire. Quand mon coeur est triste je me réfugie chez Beaudelaire, Lamartine et même Prévert ; dans ces moments là, plus rien ne compte, le temps passe et je suis ailleurs.
Quand vous serez bien vieille, au soir à la chandelle.
Assise auprès du feu, dévidant et filant.
Direz, chantant mes vers, en vous émerveillant :
Ronsard me célébrait du temps que j'étais belle !
Lors, vous n'aurez servante oyant telle nouvelle.
Déjà sous le labeur a demi sommeillant.
Qui au bruit de Ronsard ne s'aille réveillant.
Bénissant votre nom de louange immortelle.
Je serai sous la terre, et, fantôme sans os
Par les ombres myrteux je prendrai mon repos :
Vous serez au foyer une vieille accroupie.
Regrettant mon amour et votre fier dédain.
Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain :
Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie.
Pierre de Ronsard 1524-1585
Le mien de cahier est beaucoup moins joli, mes poèmes ne sont pas ceux des grands, mais quand je les ai écrits ils m'ont aidé à traverser les moments les plus difficiles de ma vie.
Miss Sourire s'est envolée !!
Regardes Chéri, comme ma fille est belle,
Seulement trente quatre ans et déjà des ailes.
Quelques jours après, elles allaient s'ouvrir
Pour s'envoler, nous volant son sourire.
Sans le savoir,
Sans le prévoir,
Celui qu'on nomme "destin"
Etait déjà en chemin
Nous n'avions rien vu arriver
Maintenant, il nous reste des regrets
De n'avoir pas su assez l'entourer
De ne lui avoir pas assez montré.
Elle disait : "nous ne sommes pas une famille"
Car même unis dans la peine. Tous s'éparpillent !
Au lieu de se serrer, chaudement les uns aux autres.
Et maintenant, combien sommes nous côte à côte ?
Quel triste souvenir
Pour notre avenir.
Edith Mai 2002
Je sais que je ne suis pas la seule à avoir encore 20 ans dans mon coeur !
Elle aussi, m'a offert un cadeau a laissé traîner dans une chambre romantique.
N'ayez pas peur d'assumer vos choix, ils relèvent de votre personnalité et personne n'a le droit de les juger.
Rencontre avec nos amis virtuels.... sous le signe de l'Eau
Depuis bientôt 4 ans sur le Net, avec ce blog je me suis fait des connaissances, j'en ai rencontré plusieurs d'entre Elles. Pourtant ce n'est pas trop mon truc de lier des contacts surtout quand nous sommes éloignés les unes des autres. Au fil des mois des années inévitablement les liens se distendent, pour devenir de véritables amis il faut se ressembler, partager les mêmes choses et cela n'est pas toujours facile. Il reste un côté éphémère qui me dérange un peu. Parfois il y a des coups de foudre comme en Amour, des gens avec lesquels tout de suite nous avons envie de tout partager.
AvecELLE c'est notre troisième rencontre. En partance pour une semaine "au bord des grands lacs italiens", elle s'est arrêtée avec son mari et une surprise dans ses bagages une autre bloggeuse avec laquelle j'ai tout de suite sympathisée, et ravie de constater que nous avions beaucoup de points en commun.
Le Week-end était consacré aux rivières et au Lac du Bourget, nous avons commencé par une bucolique balade en canoë sur le bras mort du Rhône, un endroit superbe ou la végétation reste à l'état sauvage et ou aucun bâteau ne s'aventure.
Un petit détour au lac de Bartéran aux paysages toujours aussi romantiques
Visite de l'abbaye de Hautecombe, dans mon prochain billet j'y reviendrai plus longuement
Dimanche après-midi, nous avons embarqué sur un petit bâteau électrique pour 2 heures de croisière au fil de l'eau, nous avons remonté le canal de Savières
En partant de l'écluse, nous traversons le petit village de Chanaz dont je vous ai déjà parlé
Pour déboucher sur le majestueux Lac du Bourget si cher à Lamartine
Sur le lac direction la statue du célèbre poète
Avec un petit bâteau on peut se rapprocher beaucoup plus près de la rive. Ce dimanche, navigation calme peu de gros bateaux qui en sortant du canal s'élancent à toute vitesse sur le lac sans s'occuper des petites embarcations, dans lesquels nous pouvons avoir de petites frayeurs quand nous recevons les vagues de côté.
agréable rencontre ou nous avons partagé la nature et l'eau.
Joyeux Noël à Tous ceux qui sont seuls.
Pour les catholiques, la nuit de Noël c'est avant tout ça :
Mais pour tous les enfants du monde ce devrait être ça
Malheureusement c'est loin d'être ainsi sur toute la planète.
Pour tous les adultes ce devrait aussi être ça
C'est ainsi au meilleur des cas. Et combien sont-ils ce soir là, tout seul ; passant cette soirée comme les autres soirées. J'ai connu un soir de Noël triste sans un coup de téléphone de ma famille, grands enfants dispersés à droite à gauche, pas de frère et soeur, pas de neveux ou nièces puisque je suis fille unique et que ma maman l'était aussi. Le seul coup de téléphone que j'ai eu ce soir là, c'est un coup de téléphone du destin, un jeune homme qui s'est trompé de numéro et qui essayait de joindre des amis pour aller faire le réveillon ; je pleurais , il m'a remonté le moral, il m'a consolé et voulait même que je lui donne mon adresse pour venir me chercher avec ses copains et copines pour aller faire la fête avec eux. Cet inconnu m'a parlé doucement pendant au moins une demi heure. Je n'ai jamais su qui il était, les soirs de Noël suivants j'ai repensé à ce coup de téléphone, sans qu'il le sache il m'avait fait beaucoup de bien et pour moi ce soir là, il était mon cadeau.
Alors pour tous ceux et celles qui sont seuls ce soir et qui pour se divertir vont de blogs en blogs, j'ai choisi un joli conte de Noël écrit par Clément Clarke Moore publié pour la première fois dans le journal Sentinel, de New York le 23 décembre 1823.
C'était la nuit avant Noël, dans la maison tout était calme. Pas un bruit, pas un cri, pas même une souris ! Les chaussettes bien sages pendues à la cheminée attendaient le Père Noël. Allait-il arriver ? Les enfants blottis dans leur lit bien au chaud rêvaient de friandises, de bonbons, de gâteaux.
Maman sous son fichu et moi sous mon bonnet et vous prêts à dormir toute une longue nuit d'hiver.
Dehors, tout à coup, il se fit un grand bruit.
Je sautais de mon lit, courais à la fenêtre, j'écartais les volets, j'ouvrais grande la croisée. La lune sous la neige brillait comme en plein jour.
Alors, parut à mon regard émerveillé, un minuscule traîneau et huit tout petits rennes conduits par un bonhomme si vif et si léger qu'en un instant je sus que c'était le Père Noël !
Plus rapides que des aigles, ses coursiers galopaient, lui il les appelait, il sifflait, il criait :
"Allez Fougueux, allez Danseur, Fringant et puis Renarde, En avant Comète ! Cupidon en avant , Tonnerre, Eclair, allons, allons au-dessus des porches, par delà les murs ! Allez ! plus vite encore !"
Comme des feuilles mortes poussées par le vent, passant les obstacles, traversant le ciel, les coursiers volaient au-dessus des toits, tirant le traîneau rempli de jouets. Et en un clin d'oeil, j'entendis sur le toit le bruit de leurs sabots qui caracolaient. L'instant qui suivit le Père Noël d'un bond descendait par la cheminée. Il portait une fourrure de la tête aux pieds, couverte de cendre et de suie, et, sur son dos, il avait une hotte pleine de jouets comme un colporteur avec ses paquets. Ses yeux scintillaient de bonheur, ses joues étaient roses, son nez rouge cerise, on voyait son petit sourire à travers sa barbe blanche comme neige. Un tuyau de pipe entre les dents , un voile de fumée autour de la tête, un large visage, un petit ventre tout rond qui remuait quand il riait ; il était joufflu et rebondi comme un vieux lutin. Je n'ai pu m'empêcher de rire en le voyant et d'un simple clin d'oeil , d'un signe de la tête il me fit savoir que je ne rêvais pas : c'était lui.
Puis sans dire un mot, il se mit à l'ouvrage et remplit les chaussettes. Il se retourna, se frotta le nez et d'un petit geste repartit par la cheminée.
Une fois les cadeaux déposés, il siffla son attelage, puis reprit son traîneau et les voilà tous repartit plus légers encore que des plumes.
Et dans l'air j'entendis avant qu'ils disparaissent :
"JOYEUX NOEL A TOUS ET A TOUS UNE BONNE NUIT".
Moi aussi je vous dis Bonne nuit.
Retrouvailles 47 ans après à Fontaine de Vaucluse
Retrouvailles 47 ans après ce n'est pas rien !
La dernière fois que nous nous étions vus c'était en 1962 et voici le dernier visage que Marcel et Danièle avaient de moi.
Et pourtant Marcel a fait parti de mes amis d'enfance, sa maman était une amie de la mienne, quand je venais chez mes grands-parents en vacances nous étions de la même bande.
Maud, mon amie d'enfance avec Dani.
En grandissant, Marcel a rencontré Dani et moi un copain de Marcel. Nous nous sommes fiancés chacun de notre côté, 47 ans après ils sont toujours ensemble, pas moi !
Les aléas de la vie nous ont éloignés.
Maud qui habite Nouméa, vient en vacances tous les deux ans en France et cette année, elle avait décidé lors de son séjour, de réunir ses amis d'enfance. Par copains d'avant elle en avait retrouvé plusieurs. Cette année trop occupée pendant le mois de juillet je n'ai pas pu les rejoindre en Picardie. Mais au soir de leurs retrouvailles, elle m'a téléphoné pour me dire qu'un des couples qui m'avait bien connu, voulait me revoir et qu'elle leur avait donné mes coordonnées. Inutile de dire que le lendemain il y avait un petit mot dans ma boite émail. Plusieurs correspondances, des envois de photos ont été échangés dans la même semaine. Ils habitaient la région parisienne, mais ils descendaient en vacances à Aix en Provence.
Nous n'avions plus de temps à perdre, nous avons décidé de descendre deux jours en Provence pour les rejoindre. C'est donc à Fontaine de Vaucluse que nous avons trouvé un joli hôtel de charme "l'Hôtel du Poète" dont je vous parlerai prochainement.
Il faisait beau, même beaucoup trop chaud. Marc et moi nous avons décidé de trouver un endroit sympa pour passer l'après-midi à papoter à se retrouver et pour Marc à faire connaissance sans qu'il s'ennuie un peu, car ce n'est pas toujours drôle les retrouvailles avec des amis qui lui sont inconnus .
Notre Hôtel étant un ancien moulin restauré, avec de l'eau partout dans le parc, rien de plus agréable avec ce jour de canicule puisque c'était le jour le plus chaud de l'année pour nous retrouver.
C'est à cette table que nous les attendions. Et je pensais à des retrouvailles surprises quand j'étais enfant. Un compagnon de guerre de mon grand père, (vous savez la grande guerre de "14"), était venu frapper à la porte de mes grands parents ; c'était moi qui avait ouvert, et je m'étais retouvée face à un couple de personnes "âgées" (ils avaient le même âge que moi aujourd'hui !!!) et ils m'ont demandé si c'était bien ici qu'habitait "Adrien Pascaut". Rien que d'y penser je souris, j'ai pourtant l'impression que c'était seulement avant hier....
11 heures 30, ils sont à la porte de l'hôtel. Emotion, je vous assure ça fait drôle de se retrouver 47 ans après. Mais après tout on est encore pas mal du tout !
Nous avions été retenir une table dans le jardin d'un restaurant sympa du village. A l'hôtel c'est pratique dans le parc, il y a une porte qui donne dans une ruelle au centre du village.
on en avait des choses à se dire. Après le café, nous sommes repartis dans le parc de l'hôtel bien au frais si l'on peut dire et là, l'appareil photos à chauffé croyez-moi.
Elles ne sont pas belles les comtesses ? comme a si bien dit Marcel !
Dans un endroit aussi charmant, les retrouvailles étaient encore plus belles.
Il y a encore un autre copain d'enfance " Marc Burren" que j'aimerais bien retrouver, on ne sait jamais si toi ou ton épouse passaient par ici, faites moi signe.
Quand une rencontre virtuel devient...
Il faut vivre avec son temps. C'est sur Internet que j'ai rencontré "Petit n'Amour" 8 ans après j'en suis toujours très très contente.
C'est également grace à Internet que j'ai rencontré : Ne vous privez pas de lui rendre visite ici
Maman Mule vous ne verrez pas son vrai visage, mais pour ne pas vous laisser sur votre faim, je vais vous montrer Papa Mule, lui il veut bien que vous l'admiriez.
elle a des belles mains "Maman Mule" vous ne trouvez pas ?
Je vais vous raconter la petite histoire. Elle visitait mon blog depuis un certain temps, bien avant d'avoir le sien, elle m'avait bien étudiée, c'est facile je me livre facilement. Elle a trouvé que nous avions beaucoup de points communs et elle a eu l'envie de me connaître un peu plus. Elle m'a donc fait l'honneur de me choisir pour correspondre avec moi et échanger un plus.
En décembre, quand je suis montée dans le Nord, nous avons fait un détour par chez elle pour faire connaissance.
Après un sympathique déjeuner, elle nous a emmené visiter les alentours. Nous avons donc profité qu'elle remontait de Venise pour la faire s'arrêter à la maison avec papa mule. Ils sont arrivés mardi soir, j'avais préparé une jolie table dans le jardin (mais elle vous montrera) et nous avons continué à papoter jusqu'à une heure avancée de la soirée, les bougies commençaient à se conssumer et atteindre la nappe quand nous avons décidé d'aller nous coucher.
Le lendemain, un programme chargé les attendait. Bien évidemment nous avons commencé le matin par les endroits très proches de la maison comme la cascade de Ceyvérieu tout à côté ensuite la jolie église de Vieu
L'après midi après avoir déjeuné au bord du lac du Bourget, nous les avons emmené dans un endroit original et curieux, je savais que Maman Mule allait adorer, mais je lui laisse la primeur pour vous en parler.
je vous dirai simplement que cela s'appelle "Les jardins secrets" sur la route entre Aix les Bains et Annecy. je vous en ai déjà parlé l'année dernière.
Derrière cette porte vous découvrirez un endroit que vous êtes loin d'attendre dans un petit hameau aussi rural.
Inutile de vous dire que la carte numérique du réflex a chauffée. Ensuite nous sommes redescendus sur Aix les Bains
ici, nous sommes rentrés pour admirer l'architecture du plus beau casino de France.
et nous avons terminé par un des plus jolis villages fleurit à 15 kilomètres de la maison
CHANAZ sur les bords du canal de Savières
Juste assez pour leur donner l'envie de revenir. Agréable journée que nous avons terminé dans la salle à manger pour éviter d'attaquer une nouvelle fois la nappe avec les bougies.
Jeudi matin après le petit déjeuner, ils ont repris la
et en avant vers la Normandie aux verts paturages.
Conclusion : Ne vous refusez pas de rencontrer vos amis virtuels quand ils ont les mêmes centres d'intérêts que vous, vous élargirez vos amitiés.
VIVE INTERNET
Muguet Porte bonheur
A tous ceux et celles qui passez par ici, j'offre ce brin de muguet pour qu'il vous apporte le bonheur et la santé.
La tradition du 1er Mai, remonte à la nuit des temps. Dans l'antiquité, c'était la date à laquelle les navigateurs reprenaient la mer. Chez les Celtes, c'était le début du premier semestre de l'année celtique. Au moyen âge, Mai était le mois des accordailles. Depuis 1889 ; c'est la fête du travail.
Mais c'est au début du XXème siècle que sa vocation de fleur du 1er Mai s'affirme grâce à deux faits principaux.
Le 1er Mai 1895, le chansonnier Mayol est accueilli par son amie Jenny Cook avec du muguet et le soir, il arbore à la boutonnière du muguet à la place du camélia traditionnel.
A l'époque 1900, le jour du 1er Mai, les grands couturiers offraient des brins de muguet aux clientes et aux petites mains.